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LES INCONTOURNABLES

LES ATOUTS TOURISTIQUES

Le Cap des Trois Fourches est une véritable merveille de la nature. Du haut des montagnes rocheuses, un paysage maritime exceptionnel s’offre aux visiteurs. À l’extrémité du Cap trône un phare gigantesque datant de la colonisation espagnole. Une petite excursion dans les fonds marins et vous y découvrirez des paysages insoupçonnés.
Le Cap des Trois Fourche regorge de plages sauvages plus belles les unes que les autres !

Forgée au temps de la dynastie Mérinide, Debdou est un village surmonté d’une kasbah en pisé, qui était destinée principalement à défendre le territoire. Habitée pendant plus de 2000 ans par une communauté juive séfarade qui, chassée d’Espagne, y trouva une terre d’accueil. Cette petite communauté résussit alors à faire de Debdou une zone de commerce active avec l’enclave espagnole de Melilla et l’Algérie, mais la Guerre des Six Jours à la fin des années soixante, amena les israëlites de la région à migrer vers Casablanca ou vers l’étranger. Le mellah, ses deux cimetières, trace de cette vie, sont aujourd’hui un lieu de pèlerinage.

On ne sait s’il y pénètre ou s’il s’en évade, mais l’important cours d’eau d’Ain Sfaa s’enfonce dans les monts de Béni Snassen. A l’embouchure d’une vallée tout de vert vêtue, on peut suivre le cours d’Ain Sfaa en passant par la grotte d’Al Kaf. Cette grotte, en forme de coeur allongé sur son flanc, laisse l’eau refléter son visage, à l’identique, sans onde ni trouble pour déformer son image.

Longtemps oublié, le village d’Ich – « corne » en berbère – est un petit aghrem (ksar), situé entre Bouarfa et Figuig, à la frontière algéro-marocaine. Ce petit village a su se préserver du temps et résiste à son isolement. Des petites maisons en terre, bois de palmier ou de genévrier sont soudées entre elles. Dans les grottes alentours, à Ghilane, Haitama, Lmlalih, Dchira, la préhistoire a laissé des traces : peintures rupestres de l’époque de la chasse et de l’élevage et de petits tumulus.

Non loin des villes, s’élève l’ancien volcan de Jbel Gourougou. Ce massif montagneux atteint une altitude de 900 mètres à proximité de la côte, offrant une vue imprenable sur la mer et sur la lagune. Unique site vert de la région, il contraste avec le paysage bleu et ocre de ce pays de roches.

Force de temps, d’eau et de vents, la nature laisse ici une trace grandiose. La grotte du chameau a été nommée ainsi parce qu’elle renferme une étrange formation de stalagmites et de stalagtites à l’image d’un chameau. Cette grotte fait le bonheur des archéologues et des curieux venus admirer la création de la nature. Très réputée, elle attire petits et grands, éclairée par les reflets de la lumière venue se poser sur l’eau.

La lagune de Mar Chica a des allures particulières. Telle une immense piscine naturelle au bord de la Méditerranée, profonde d’à peine 7 mètres par endroits, elle s’étend sur une superficie de 115 km2. Aucun paysage n’a son pareil sur le littoral méditerranéen du Grand Maghreb, c’est pourquoi elle est l’objet d’un grand projet économique et touristique, profitant des 25 kilomètres de plage alentours.

En plus de la maison Dar Sebti et du verdoyant parc Lalla Aïcha, il faut absolument aller voir les remparts de Oujda lorsque vous visitez la ville.
Véritables témoins de l’histoire de la ville et des différentes influences, berbères, andalouse ou encore ottomanes qu’a connu la cité, l’ensemble des remparts qui subsiste a été construit par Driss Ben Yaïch en 1896. Deux des portes les plus anciennes, Bab El Gharbi et Bab Sidi Abdelaouahab, permettent d’entrer dans la médina. Leur forme en arc brisé descendant et cintré comme une serrure laisse la marque des influences maures. Les remparts sont également le lien entre le passé et le présent puisqu’ils séparent la médina de la ville nouvelle.

Cité oasisienne présaharienne, on trouve à Figuig, l’une des plus belles palmeraie du pays. Grande étendue verte, parsemée de petites maisons en pisé, plantée en contrebas de la falaise, la palmeraie de Figuig marque la frontière avec l’Algérie. Abritant de nombreux arbres fruitiers tels qu’abricotiers, figuiers, grenadiers ou encore pruniers, le palmier dattier reste pourtant la principale ressource de cette palmeraie et le principal support de son économie. Ainsi, les palmiers de Figuig produisent des variétés de dattes réputées, telles que les Aziza, Bouffegous, Assian ou Aghrass.

L’oasis de Sidi Yahya est un lieu paisible et agréable à l’ombre des arbres, situé à six kilomètres de la médina d’Oujda. Carrefour de rencontres ethniques, cet oasis abrite le mausolée de Sidi Yahya, saint patron de la ville et est le lieu d’un moussem du même nom qui se tient chaque année.

Près de la Kasbah d’Oujda, la parc Lalla Meryem renferme de nombreuses curiosités. Il offre un espace verdoyant de calme et de détente, à l’ombre des palmiers. Au cœur de ce jardin à la végétation luxuriante, on découvre un petit théâtre de plein air ainsi qu’un musée qui renferme des collections d’armes traditionnelles de la région de l’Oriental.
Le parc accueille de nombreux événements célébrants le patrimoine culturel de l’Oriental Marocain.

Saïdia Resorts est née de la volonté de Sa Majesté Mohammed VI de développer, à travers le plan Azur, l’activité balnéaire touristique et de loisir. L’aménagement du site balnéaire de Saidia à moins de trois heures des principales villes européennes desservies par deux aéroports internationaux : Oujda et Nador, font de cette station un point de chute pour séjourner, rayonner et découvrir l’Oriental marocain.
Les hôtels de Saidia, idéalement situés face à la mer, au sein du complexe touristique, offrent une gamme de services de haut niveau et invitent à profiter de nombreux loisirs.
Le Medina Center est construit selon une architecture traditionnelle, dont portes, ruelles étroites, places et terrasses, boutiques et cafés, rappellent l’atmosphère d’une médina classique. Cet espace singulier se prête idéalement à la flânerie et au shopping.

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